le 6 mai 2013
Appel de propositions conjoint pour des projets de R et D portant sur la fabrication de produits automobiles
le 22 février 2013 Le gouvernement du Canada investit avec l'industrie canadienne de l'automobile dans des projets novateurs de R et D
Tous les projets du PAC doivent clairement être axés sur les besoins de l’industrie et compter sur la participation active de l’industrie au cours de l’élaboration de la proposition et tout au long de la durée du projet.
Un partenaire industriel admissible aux activités appuyées par le PAC peut appartenir à l’une des deux catégories suivantes :
La définition de « véhicule automobile » par le PAC comprend les voitures, les camions légers, les camions lourds, les autobus et les véhicules de plaisance, c’est-à-dire tout véhicule immatriculé pour circuler sur la voie publique. Cette définition ne comprend pas les véhicules agricoles, les véhicules militaires, les véhicules chenillés, les véhicules tout-terrain et les véhicules ferroviaires.
Le PAC utilisera les mêmes critères pour définir l’admissibilité d’un partenaire industriel étranger que ceux énoncés dans les Lignes directrices du CRSNG relatives aux organismes participant aux programmes de partenariat de recherche :
Le PAC n’est pas un programme de financement de contrepartie. C’est pourquoi aucun montant précis de contributions en espèces ou en nature requises des partenaires industriels n’est fixé pour un projet donné. Le PAC appuie plutôt les projets axés sur les besoins de l’industrie, qui comptent sur la participation active et la collaboration de partenaires industriels engagés, et pour lesquels les interactions avec ces derniers sont « transformatrices ». On s’attend dès lors à ce que les contributions en nature des partenaires industriels à un projet soient importantes et indispensables à la réussite de la recherche.
Nonobstant ce qui précède, quand on cherche à obtenir des fonds de la FCI pour l’infrastructure de recherche, le PAC peut uniquement couvrir jusqu’à 40 p. 100 des coûts totaux admissibles. Le reste, soit des contributions en espèces ou des contributions en nature admissibles, doit provenir des établissements ou des partenaires admissibles (industrie, gouvernements provinciaux et autres).